Wildstar JdR
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Rapports de mission d'Eïffy Dentelion.

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Rapports de mission d'Eïffy Dentelion. Empty Rapports de mission d'Eïffy Dentelion.

Message par Eïffy 19.10.15 13:02

"Les donnés sont transmises dans le centre de commandement vers les divers points d'interêts techniques de la forteresse et du Croiseur "Sword of Valerius" en orbite. Parfois peu important, parfois bien plus, cette fréquence d'informations runique traversant les divers ordinateurs contient les rapports du Capitaine Eïffy, l'officier de flotte dans la troupe de Sirius Valerius. Destinés aux mercenaires ou même aux informations standard lisibles au centre de commandement de la Forteresse des mercenaires. Ainsi, les divers missions gardent une trace, même minuscule, des passages des mercenaires en Nexus - Ou autours dans l'espace !"

Rapport du 19 - 10. 1666.
Intitulé de mission : Pillage sur pilleurs.

"Court rapport sur la mission d'éradication de bandit en Céléstion, au sud de la citée-arbre de Haute-Sylve dirigé par la race Aurin en lien avec l'Exil installé sur Nexus. La situation était gênante, d'après les rapports de la population par la présence d'un entrepreneur agité de Protostar désireux d'essayer de se servir de la naïveté et de l'adaptation aux nouveautés des Aurins pour se faire du "Beurre sur leur dos" - Précision qu'il ne s'agit pas vraiment de vendre du beurre, sachant qu'en plus, rare sont les habitants du coin à manger des tartines pour tartiner le beurre dessus. Rendant cela en terme d'une expression, sauf si vous trouvez un moyen de tartiner des canettes de sodas (quoi que tremper une tartine dans un soda peut-être faisable, mais absolument dégueulasse), ou des armes de gros calibres. Mais je m'égare.

Divers transporteur urbain de type CARGO-KG39 léger avec une sécurité assuré par des volontaires Aurins pour une rémunération très très basse, furent attaqués par une bande de maraudeur lors de l'acheminement des armes lourdes sous contrat d'un indépendant inconnu en Céléstion. Nous savons que les dits inconnus possèdent des informations sur les Ikthiens, voir un de leurs soldats, et se préparent à contrer une potentielle invasion de leurs terrains par la proche venue d'une flotte de leur Empire. Les maraudeurs décidèrent qu'il était bon de récupérer ce qui pouvait l'être - C'est à dire, récupérer ce que les autres achètent. Par leur méthode peu créative mais efficace du "j'envoie le plus de laser possible en riant, avec une paille connecté à ma casquette porte-bière", plusieurs Aurins civils furent happés dans quelques braquages, la tension fini donc par monter plus vite que le chauffage d'un réacteur de type "IONISEUR-87" (imaginez juste le réacteur d'un missile d'intervention rapide. ça va vite.)

Suite à un rapide voyage sans trop de problème à bord du "Spreader of Morons", le Valkyrie de combat de la forteresse, nous sommes arrivés à Haute-Sylve pour y rejoindre le Capitaine Ula, qu'un abrutit du service de communication aura envoyé en reconnaissance, à la place de ce bon à rien de Stanislas. Le vaisseau de voyage était mon préféré, d'un vert militaire acceptable, avec deux pièces latérales de défenses et un multi-laser prêt à être surchargé à la proue. J'imagine qu'il était confortable d'être dans la cabine aux voyageurs avec les installations de repos, même si l'odeur du carburant boosté devait être terrible pour peu que l'on ait pas l'habitude, ma cabine de pilotage avec mon fauteuil en cuir était en tout cas plus qu'agréable pour ce type de voyage, et je profitais alors pour me détendre en pilotant à travers les nués d'oiseaux exotiques passant à côté, en notant leurs réactions d’imbécillité animale après avoir esquivé le massif vaisseau de combat passant à côté. Notre équipe était constituée de - Garrett (avec ses bots), Neillia, et de moi même. Des unités plutôt légère, mais équipés de techno-armure tactique. Et je peux constater leurs spécialités au combat, en contraste avec le Rock (le nom de famille d'Ula, qui correspond aussi à sa ténacité, mais aussi à son QI), leurs talents étant plus variés et destinés à la tactique improvisés. Haute-Sylve semblait plutôt tendue, les Aurins se cachant parfois au lieu de s'occuper de leurs légumiams chantant (mal, d'ailleurs), alors que le responsable de Protostar s'engueulait avec un Aurin complètement enragé, c'est ce que disait ses griffes sorties et dressés contre nous.

A l’unanimité, les p'tits gars décidèrent qu'ils aideraient l'Aurin des Veilleurs d'Arboria à se débarrasser des maraudeurs selon ses méthodes, alors que le gros clone vert préférait être en position fœtal après qu'Ula lui ait braqué son énorme flingue de destruction massif en disant que les sons faisait trembler le doigt sur sa gâchette, un tic qui transformait souvent les moment de diplomatie en atelier compote. Mais il n'y eu pas (ENCORE) de débordement et nous avons pu partir aux côtés de l'autre taré (bon, ça en fait un paquet, alors je dirais que c'était l'Aurin Veilleur.) qui savait parfaitement où se trouvait les Maraudeurs, me laissant penser que les p'tits gars firent le bon choix. Et la stratégie après une course dans la forêt en usant de nos jambes pour foncer à travers feuillages et un ponton, qui était d'ailleurs un très beau ponton, dut être improvisée. Les bandits étaient retranchés dans un camp de fortune avec leurs chasseurs spatiaux en maintenance à côté d'un antique réservoir d'énergie Eldan. Je pense qu'il se sont installés là car le coin était jolie. Mais avant de pouvoir réfléchir à quoi que ce soit, tout fut interrompu par le premier tir au missile d'Ula dans le tas. Au moins, le sens du mot "perdre du temps" n'existe pas avec lui. Pour une rapide description du campement : L'odeur était comme d'habitude imbibé par la puanteur des résidus gastriques des pilleurs allant se vider n'importe où ça pourrait faire des latrines improvisés. Des canettes éparpillés un peu partout autours de toile raccommodé peu utile sans un environnement acceptable (allez vous foutre sous une toile à Val-blanc, on ira vous décongeler un de ses quatre.) ainsi que quelques barricades improvisés en cas d'attaque. Au moins, ils étaient prévoyant, et leurs baies de maintenances avaient l'air aussi mal entretenue que le reste.

Tout s’enchaîna alors que moi et Garrett priment position dans des couverts intéressants (des câbles luisants d'une ancienne énergie qui étaient inébranlable aux démolitions environnantes.) en dressant un feu nourri vers les abrutis verts qui étaient déboussolés. Il faut dire qu'il y avait de quoi : Au final, les deux chasseurs furent détruit, quand le second missile d'Ula eue le temps de s'écraser dans le réacteur du premier, et que le deuxième vaisseau fut atteins par des missiles de barrages du Bot de Garrett (Johnny il me semble), en plein dans la cache d'arme interne qui fit tout explosé. Autant dire que sans masque tactique, les images auraient été gravés dans nos rétines, le seul n'en ayant pas étant Ula, mais je pense aussi que le Granok n'en avait surement rien à foutre. Tant qu'il savait qu'il faisait tout pété sur l'instant.

Neillia fut pratiquement invisible tout le long de l'engagement, ce qui lui permit de tirer là où on ne savait pas spécialement d'où ça sortirait. Sans avoir besoin de lui donner des ordres, elle accomplit son oeuvre sans hésitation, jusqu'à ce que le Krogg dirigeant la bande de tocard vit sa tête explosé comme une pastèque qui aurait été écrasé par un chariot de maintenance lourd. Celle ci reçu un tir à pleine puissance du fusil de Garrett, agacé que le Krogg ait massacré Bobby, son Bot-Cogneur. Le tout s'acheva avec quelques blessures de notre côté. Si Ula n'en avait rien à foutre (comme d'habitude) d'avoir perdu quelques cailloux de son corps, Garrett reçu une mauvaise décharge de laser dans le ventre, et mon épaule reçu aussi un tir traversant le bouclier d'énergie de mon armure. Ce n'était rien que le médicae du fort ne pouvait arranger rapidement, mais pour des "troupes d'élites" que l'on essayait d'être. C'était pas fameux d'être atteinte lors d'une mission de nettoyage de routine, et alors qu'il ne restait que des toiles calcinés et des morceaux de métaux éparpillés. Nous décidions d’appeler une équipe de récupération pour attraper les matériaux de guerre de Protostar volés par les maraudeurs. C'était un butin de guerre, pour un passage en règle. Et au moins je n'aurais pas toute la paperasse post-décès de mercenaire en mission.

Au final, c'était pas si mal que ça."
Eïffy
Eïffy

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Rapports de mission d'Eïffy Dentelion. Empty Re: Rapports de mission d'Eïffy Dentelion.

Message par Eïffy 20.10.15 11:36

Musique d'ambiance:

Rapport du 20 - 10. 1666.
Intitulé de mission : Effet papillon BRUTAL.

"Le P'tit John est mort. Réduit à l'état de petits morceaux éparpillés dans tout les sens, comme si l'on avait souhaité en faire un tableau abstrait avec des miettes que l'on aurait installer à droite et à gauche du Spatioport de la forteresse. C'était plutôt jolie à voir, ce paysage ravagé avec quelques flammes dansantes contre l'énergie crépitante du bouclier de la forteresse aux les parois murales formant le cœur de ce Bunker. Mais avant que vous ne poursuiviez la lecture, si vous n'êtes pas un mercenaire du coin mais un étranger qui lit mes notes. Déjà, allez vous faire foutre. (Une marque de politesse, parce que ça veut dire que l'autodestruction programmée en donnée pirate n'aura pas fonctionné.) Et ensuite, P'tit John n'est pas un humain ou même un Granok en dessous de la moyenne des rochers communs. C'était un vaisseau de chasse déployable autours des cargos de transports et autres vaisseaux trois fois plus gros que lui. Je lui espérais un avenir sacrément plus intéressant, mais il à fallut que cet abrutit de Gro'La décide qu'au fond de sa pierre, il était peut-être un pilote. ET IL A TOUT BOUSILLER. Encore plus quand une grenade dégoupillée car ce gros malin est pas capable de foutre des goupilles qui se détachent pas pour rien, celle ci est tombée dans le cockpit du vaisseau en maintenance.

ET BOOM.

Plus de P'tit John, et l'autre était en l'air après que Garrett l'avait aider à sortir de l'aile dans laquelle il était coincé. C'était marrant, et triste, mais surtout marrant. Au final, c'était jolie à voir, mais imaginez un peu mon cas : Officier-mécanos du club des joyeux psychopathes, si un truc pète et que je peux pas réparer. C'est moi qui prend, et voir Valerius en colère, ça craint. Mais reprenons avec un ton plus sérieux, car ce n'était qu'une caillasse sur la route de la destruction qui allait poursuivre plus tard. Non pas heureux d'avoir fait sauté un chasseur, le Granok décida qu'il était temps d'agir. (Et aussi parce qu'il arrêtait pas de râler pour avoir de l'action.) Et nous sommes parti naturellement faire ce que n'importe quel mercenaires font quand ils n'ont pas de contrat à accomplir : Un truc sacrément débile.

Cela constituait dans un objectif de"Voler aux maraudeurs un chasseur pour remplacer celui qui été pété". Bien entendu, personne ne voyait la valeur sentimentale là dedans. Ou alors ils n'en avaient terriblement rien à foutre, ce que je décidais de faire aussi en final. Au moins, le Spreader of Morons n'avait rien à se moment là, et si j'avais su ce qu'il adviendrait. Je pense que j'aurais fais un doigt à Ula, et que je serais aller à mon tour faire pété l'un de ses missiles en visant une bourgade paumé rempli de contaminé souillé quelconque. Mais en plus d'être une idée stupide, l'option de chiper un vaisseau de rechange n'était pas si mal. (Si l'on considère qu'Ula en avait réellement quelque chose à foutre si ce n'est trouver une raison d'aller tirer sur des têtes de poires vertes.) Et l'équipe se forma rapidement pour partir en mission : Allie, une nouvelle (et une humaine), Neillia, Gro'La, et votre créatrice de chaos et de situation de flammes et de sang : Moi. La nuit était légère et tranquille, et le voyage aurait pu être agréable alors que le paysage de Val-blanc défilait paisiblement en dessous de nous, le Valkyrie traçant sa route avec sérénité dans les cieux doucement éclairé par l'une des lunes de Nexus. Enfin, comme on apprend souvent au combat, "il ne faut jamais dire que les choses se passent bien. Et si ça arrive, c'est que ça va mal finir."

Et cela c'est arrivé quand deux chasseurs-maraudeurs nous priment en chasse. Il était peu probable que nous puissions récupérer ceux là en vole, et je n'avais pas l'attention de faire dans la dentelle quand il s'agit d'un combat aérien qui met en jeu la santé de mon précieux Spreader of Morons. Mais alors que Neillia et Ula usaient des canons latéraux - Un auto-canon anti-blindage et une gatling lourde rotative, et que les maraudeurs recevaient de sérieux dégâts. Il fallait que l'un de ses glands arrive un tir chanceux pendant les manœuvres d'esquives, et que quelques tirs surchargés trouvent une faille dans l'énergie du bouclier, et fasse sauté l'un des réacteurs. Les systèmes de gestion de situation critique se mirent en route, et l'activation d'un réacteur secondaire nous permit de ne pas aller nous écraser dans Céléstion qui défilait désormais sous nos yeux. Alors que le premier vaisseau recevait des dégats infiments critiques jusqu'à ce que les réservoirs de munitions furent touchés par Ula, l'autre s'avançait, à couvert de sa position alors que l'Auto-canon avait été désactivé à cause des dégats trop important subit au bouclier et au moteur. Mais dans une manoeuvre que n'importe quel tacticien aurait trouver ahurissante. Je retournais le Valkyrie d'un mouvement (en savourant l'idée que ceux derrière allait se cogner la tête. Une blague potache chez les pilotes.) très brutal pour orienter mon canon de proue. Et appréciait le spectacle de lasers surchauffés éparpillant le vaisseau de bandit en passant à travers comme un carton sous l'effet d'un obus perçant anti-char.

Mais la panache de fumée du moteur me faisait réalisé qu'il fallait pas jouer trop longtemps à "on verra plus tard" en pensant au risque que l'énergie déviée ait une avarie à cause des câblages maltraités. Et que... Bon, pour être claire : Je n'avais pas envie que le Spreader of Morons explose à son tour en l'air à cause des dégâts critiques. Et l'on partait s'installer au sol doucement (je plaisante sur le doucement.) de Céléstion, proche de la piste de largage détecté par les capteurs tactiques. Juste là où les caméras avaient vu les formes sombres des chasseurs sortir des forêts, au fait. Et si j'avais su à quel point ça partirait en cacahuète, j'aurais apporter des marshmallow.

Je vais rapidement décrire la situation : Ula à engagé l'ennemi avec l'efficacité standard, c'est à dire, en tirant dans tout les sens avec le gatling de mon fils, mon vaisseau, qu'il avait récupérer alors que la voix cybernétique de l'ordinateur du Spreader of Morons lui souhaita une bonne journée. Neillia disparut encore, pour réapparaître plus tard aux pieds d'un Krogg et d'autres maraudeurs au milieu du campement. Je pensais brièvement à lui dire de faire attention à ses lacets, pour le peu qu'elle en ait, et vit aussi Allia partir au poing dans le tas. Dans la forme, c'est quand même vachement cool de vouloir régler une fusillade à coup de mandale dans la gueule. Mais dans les faits, si ça consiste en "partir en ligne droite" même vers les adversaires mit en joue par Ula avec une foutue arme de suppression capable d'éparpille du fromage râpé dans mes pâtes avec une formidable efficacité (pour le peu qu'il me restes des pâtes après ça.) Et elle changea de cap après avoir subit quelques brefs échardes de munitions virevoltantes en lui faisait comprendre que si elle ne voulait pas devenir le steak qu'elle aurait pu manger un jour dans sa vie, le mieux était de viré de bord. Mais je mettais ça sur l'idée qu'elle avait vomit juste avant, et que son envie d'en découdre devait être sévère. C'est bien d'avoir de la niack !

Pour ma part, je galérais pas mal à servir à grand chose. De plusieurs pensés, je faisais défilés les donnés tactiques dans mon casque. L'atout d'être une Esper, c'est que pour peu que l'on sait se servir de son crâne, l'on à plus besoin de ses doigts quand nos mains sont prises pour activer nos outils de mises à mort. Mais cela ne m'aida pas à déloger l'ennemi : Ils étaient très bien retrancher, et même les tirs d'Ula ne faisait rien d'autre que leurs faire baissés la tête. Esquivant une grenade, et recevant un tir dans le buffet. Je chassais régulièrement l'impression de douleur et l'envie de me mettre en position fœtal, soutenu par les alarmes de mon armure m'indiquant qu'il serait moins con d'arrêté le combat, du moins pour survivre. Mais ce n'était pas si grave, sauf si je recevais un prochain tir. Alors quand il faut y aller, de toute façons, je n'eue pas l'occasion d'avoir plus de problème.

Neillia dans une course digne des films d'humours (pas ceux de protostar, ils semblent penser que l'humour passe par des formules commerciales grossière pour eux. Mais si, mon idée de publicité pour des skates était parfaite. Pour peu que l'on aime les  moodies et les lances-patates géants.) annonça qu'elle avait découvert que le campement était pété de réserve de munition. Ce qui était une bonne idée pour l'approvisionnement des cellules énergétiques des fusils lasers des maraudeurs. Mais dans les faits, complètement abrutit si ce n'était pas dans une véritable forteresse. Ula balança la TNT dans le tas. Alors que mon sang ne fit qu'un tour : N'avez t'on pas condamné nos compagnons, les prisonniers, et mes après midi de détente remplacé par de la paperasse, à une sinistre fin dans une effroyable explosion ? Celle ci arriva, mais fut limitée au campement, et éparpilla une bonne partie de ses occupants et de leurs effets personnels. (Si il n'avait pas été calciné, j'aurais adorer piquer l'album de Franky Sinastra, que l'un avait sous sa couchette.) et le conflit s'apaisa un instant, bien que j'étais décidé à être plus utile que ça, et l'on partait avec Ula poursuivre le combat. Pendant qu'Allie qui s'extirpait de la fumée, faisait visiblement des papouilles avec l'un des aliens verts qui était aussi au sol, Neillia elle s'occupa du Krogg qui pleurait à la perte de sa charcuterie (comme je le comprend.) et fini sa vie comme elle : en lamelle, prête à devenir du boudin, quand l'Arcanero lui renvoya sa grenade en la faisant passer d'un portail à l'autre. Et il n'en restait que deux, après que j'eue l'occasion d'en fusiller quelques uns en me lâchant sur les munitions.

Les derniers adversaires furent une Granok et un Chua. Les deux trouvèrent la mort de manière classieuse des mains de Gro'la. Le Chua reçu une grenade à shrapnel dans la bouche, et fut transformé en puzzle pour les enfants à leurs anniversaires. Pour peu que vous aimez faire de la couture. Et la Granok qui essaya de me dispersé à mon tour avec un missile (qui passa, loué soit la barbe de Sirius, bien au dessus de moi.), et décida que Neillia qui brailla "POURPARLER" était peut-être à son goût, et suffisamment mignonne pour s'en faire une amie-doudou. Elle l'écouta, mais celle ci lui tira dans le dos. Je n'osais pas imaginer la haine et la déception dans son cœur de pierre - ou de granite, enfin quelque soit la matière du cœur des Granok. Et avant de tirer, sa tête virevolta en l'air quand la barre d'acier d'Ula trouvant son crâne. Le jet fut immense, et s'écrasa sur un panneau publicitaire de Protostar qui passait par là. Une pointe d'inquiétude montait, en me demanda si le Gros tas d'caillou allait pas faire une reconversion dans son sport de base : Le galactique ball. Où meurtre et esprit de compétition s'entendent si bien.

Mais nous nous contentâmes de rentrer avec un Spreader of Morons râlant déjà à l'idée de retrouver sa piste d’atterrissage en galérant particulièrement avec sa patte cassé. je veux dire, son moteur. En décidant que Stanislas qui devait récupérer sa ceinture, partirait s'occuper des flammes dansantes dans les arbres et les herbes. Et qu'il récupérerait les deux chasseurs dans le campement des maraudeurs que nous avions miraculeusement épargnés. La mission était accomplie, dans un bordel monstre, et l'on était tous pas mal secoués. Sauf Ula, bien que je me doutais que c'était le cas, mais il n'en avait pas suffisamment conscience pour que ça le gène.

Les prochains événements seront plus ardu. Maintenant, ils vont s'attendre à nous voir arriver.

Et à faire tout péter au passage."
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Message par Eïffy 25.10.15 9:47

Musique de la note:

Rapport du 24 - 10. 1666.
Intitulé de mission : P'tite bière ?

"Commencer une mission en virevoltant dans les airs, moi j'trouve ça cool. C'était pas une histoire de prendre l'Spreader of Morons pour une fois, et mon p'tit vaisseau était au moins assuré de ne pas reprendre dans la face des quelconques munitions anti-blindage qui l'aurait éparpillé lui et ses occupants (surtout moi.) C'est pour ça que j'aime pas le mot "DCA" sauf quand ça parle d'un groupe de musique dont les notes explosent avec autant de puissance qu'une batterie dédiée à contrer des bombardiers lourds. (Si vous comparez ça avec un Croiseur. Croyez pas que ça arrêterait un tir de barrage en orbite-basse. C'est le Capi-chef qu'il là dit, c'est aussi efficace que de vouloir prendre une cuillère pour ouvrir le blindage d'un tank.) Mais là n'était pas la question, sauf pour dire que le Dominion avait de quoi transformer mon Valkyrie en purée, l'on utilisa donc le téléporter orbite-planète du "Sword of Valerius", la barge de bataille. Mais l'on ne peut pas vraiment dire que la précision soit facile à une telle distance, c'est pourquoi l'on nous large en général suffisamment haut pour pas avoir de raisons d'être matérialisé dans un caillou ou un piaf. On se retrouvait donc au dessus de Thermok, d'après mon senseur, à 3 500 mètre (en retirant ceux que j'avais pas eu le temps regarder pendant la chute libre.) dans les airs.

Neïllia en était malade, et je savais que l'on apprenait pas à un oiseau à voler sans le pousser un jour du nid, même si il s'agissait de pousser quelqu'un avec un parachute de si haut que l'on à besoin de creuser une tombe pour finir six pieds sous terre. Ula était déjà en bas, comme convenu dans le Briefing avec papa-Général au centre de commandement de la forteresse. Je savais pas ce qu'il y avait le plus par terre entres les canettes vides et les explosifs dédiés à foutre suffisamment de bordel pour que l'on pense être dans une déchetterie. En se posant comme l'on pouvait, je trouvais rassurant le micro-réacteur dorsal de mon armure qui me permit de me stabilisé suffisamment pour apprécier Neillia s'entremêlé les pinceaux dans le toile du sien. Mais Ula n'était pas là pour rire, et l'on se mit rapidement en route vers la position ennemie.

C'était pas si loin que ça, et je me dis que l'Empire se pensait donc réellement chez lui pour oublier les normes de distances entres leurs campements et les villages de leurs ennemis (ce qui devait consister tout ce qui n'était pas rouge et doré comme eux. Sauf peut-être Protostar.) Mais ce n'était pas tant la distance qui était gênante, mais plutôt le froid qui fit claquer des dents à ceux qui n'était pas un caillou ou qui n'avaient pas de Techno-armure doté d'un réacteur. (même si c'est aussi débilement dangereux que de se balader avec un charge explosif armée dans le dos.) et nous traversions alors la neige glacée et la brume soulevée par les vents gênants. En nous avons pu détectés sans mal leurs patrouilles, mon scanner optique repérant même le tank qui lévitant tranquillement en arrière malgré son camouflage et la brume. Les pix-informations défilant le long de ma visière s'était une nouvelle fois rendu utile, et l'ennemi fit aussi un effort pour nous aider visiblement. Car avant d'avoir pu abattre l'un d'entres nous, (nous étions 8 - Ula, moi, Neïllia et 5 mercenaires.) les deux Drakens de patrouille s'étaient agités à l'idée de versé le premier sang avant les Cassiens, et se poussèrent mutuellement en chutant au sol, désactivant le champ d'invisibilité qui les couvraient.

Bien que à notre tour, la malchance d'un certains "Joris" nous firent défaut en empêchant certains de nos tirs d'être placés à force de glissé sur la neige et de nous bousculer. Ula fit à nouveau preuve de tactique : Cet ahurit était tous sauf à couvert, mais il devait surement se dire qu'il n'avait pas besoin de se cacher pour faire une partie de Galactic Base-ball, et ajustant son lance-roquette comme une batte en écrasant son pauvre adversaire qui comprit l'expression "l'avoir jusqu'au cou", sauf que là c'était sa tête qui avait été renfoncé dedans.

L'autre fut abattu par Neïllia, si je me souviens bien. Alors qu'il s'enfuyait à toute hâte, bien qu'un œil plus avisé aurait pu faire la différence entres partir et raté complètement sa charge - ce qui était plus probable pour un Draken, qui ne fuient pas un combat. Et annonça le nom de son géniteur avant de périr. Un certains "Rosebud", ce qui était plutôt pas net pour un de ses félins crétins. Et nous aurions pu essayer d'avancer, si le fait d'avoir installer un Vox-communicateur sur l'armure d'Ula ne s'était pas retourner contre moi, alors que le Granok s'avançait vers l'ennemi en leur proposant de picoler. Et vous allez me dire que c'est là que les ennuies ont commencés ? (bien que si vous parlez à une tablette de donnée, faut vous soigner.) Heh bien non ! Il réussi le bougre !

Discutant et picolant avec l'avant-garde Impérial constitué de gaillard potache qui pensaient avoir trouver un de ses baroudeurs paumés qui se foutait autant de l'Exil que de l'état de son caleçon (en pensant à Ula, au final, ils avaient peut-être pas totalement tord.) nous usions de la neige et du froid montant dans cet univers d'un blanc tourbillonnant pour nous fondre sur les côtés après s'être vaguement roulé dans la poudreuse pour en être imprégnés. Ce qui aurait fonctionné, si Joris n'avait pas encore glissé en faisant tombé Neïllia et deux autres mercenaires, portant tout les regards vers nous. Alors que les soldats se demandaient ce qu'il se passait et si il fallait effectivement évité de finir leurs canettes, Ula leur apporta la réponse avec un tir à bout-portant de son lance-missile sur le Tank qui était rapproché. Et tout parti en vrille, ce que je vous aurais bien raconter, si je n'étais pas partie sucré les fraises. Alors que l'on s’allongeait au sol, et après un début d'engagement prometteur où mon fusil d'assaut troua le plus réactif des impériaux. Le canon du tank se tourna vers nous. Puis le vide.

Le réveil fut brutal, alors que ma vue était gorgée de sang, j'essayais en vain de ressentir mon corps en me disant qu'il était peut-être en morceau. Mais ma Tech-armure avait encaissé le gros des dommages en me laissant choir dans l'inconscience par terre. Le combat s'était achevé, sans que je ne puisse estimé le temps que j'avais passer endormie, mais mon armure me suppliait par ses nombreuses alarmes de ne pas me relevé en laissant ceux autours penser que j'étais une carpette. En plus de l'état exécrable de la plaque et des systèmes divers de la tenue qui se stabilisaient sous les auto-réparateurs, mon bouclier énergétique avait complètement à sec, laissant quelques arcs électriques passé le long de mon corps meurtri. Si Neillia que j'arrivais enfin à voir pencher sur moi, se voulu être tranquille (surement aussi parce qu'elle avait trop vue de connerie pour être aussi agité que l'autre gros tas), Ula m'attrapa pour me porter comme si j'étais une arme, et je venais à m'imaginer dans cette position en formation plus tard. Balançant des grenades par un système de projection intégré à mon armure. C'était drôlement classe, vu comme ça.

[En cours d'écriture.]
Eïffy
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