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[Récit] Le Chaos réside dans une balle

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Message par Sophia Lagachette 11.11.15 0:15

La porte s’ouvrit, laissant passer un peu de lumière, se referma, puis une bougie fut allumée, éclairant l’espace. Au centre de la minuscule pièce circulaire se trouvait une petite Aurin recroquevillée sur elle-même. Son épaisse chevelure ondulée d’un bleu abyssal descendais jusqu’au milieu du dos, et deux oreilles de chat dépassaient de celle-ci. Lorsqu’elle releva la tête, son visage violet était baigné de larmes et ses grands yeux de la même couleur transmettaient la peur. Elle avait un petit nez légèrement retroussé et des lèvres fines.
« Tout va bien se passer, ma chérie.» assura le nouvel arrivant.

C’était un Aurin mince, à la peau blanche comme neige, des yeux bleus ciel et deux grandes oreilles rondes. Ses cheveux couleurs de feu tombaient sur ses épaules et quelques un s’aventuraient devant ses yeux.
Il prit la petite âgée de 13 ans dans ses bras en tentant de la rassurer. La petite demanda:
«Et… Et maman?
-Maman est… (Il marqua un temps) Maman est morte, ma chérie.»

La petite augmenta les sanglots, mais elle comprenait. Le père serra encore plus son enfant quand des grands coups se firent entendre à la porte. Ce n’était sûrement pas les coups que produisait un voisin lorsqu’il souhaitait entrer pour discuter, non. C’était des coups plus violents, destinés à défoncer la porte. Le père ordonna à sa fille de se taire et la plaça derrière lui: «Ne fais pas de bruit, Sophalinya, tout ira bien…»

Les coups parurent infinis, tandis que le père tentait de couvrir les sanglots de sa petite par des «chhhhht» rassurants. La porte s’ouvrit d’un coup, laissant paraître un géant de pierre :
«Y’en a ici! Occupez-vous d’ces deux-là!»

Un Humain armé entra et tendit la main. Le père la pris, serrant sa fille contre lui, et fut emmené dehors. Dehors, c’était la guerre, la dévastation : les maisons brûlaient, les habitants hurlaient de douleur et de terreur. Le père s’efforça de masquer l’horreur aux yeux de sa fille, mais les hurlements suffirent pour insuffler la peur. Sophalinya s’efforçait de ne pas écouter, mais lorsqu’elle vit le massacre, elle sut qu’il fallait aider. Elle fonça alors vers un soldat blessé qui se fit assaillir par un Draken, elle s’empara du revolver au sol et tira aléatoirement en direction de la bête. Le soldat se releva, adressa un regard de gratitude à la petite puis s’empara de l’arme et acheva la bête.
«Tu l’a bien amoché, ma p’tite.»

Le soldat fut amené en retrait par ses compagnons et Sophalinya retrouva son père dans un des vaisseau d’évacuation.
Sophalinya fut amenée avec son père à un médecin, puis dans une salle assez grande, toute en hauteur, avec des espèces de cocons. Les deux Aurins furent transportés à une cellule de cryostase, et la petite fut installée à l’intérieur.
«Fait de beaux rêves, ma chérie.»


Dernière édition par Sophia Lagachette le 22.11.15 18:07, édité 1 fois
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Message par Sophia Lagachette 18.11.15 18:15

«Combien de temps pour celle-ci ?
-Cela fait deux mois, 8 jours, 5 heures, 37 minutes et 40 secondes.»

C’était une sensation étrange. Comme un sommeil sans rêves. Puis, d’un coup, on reprend conscience. Le cryotube s’ouvrit, aveuglant le petit être à l’intérieur. Un médecin se trouvait là, pour évaluer rapidement ses réflexes naturels et effectuer quelques tests de psychomotricité. La petite, ne montrant aucun signe de cryomal, fut amenée à son père, qui était devant un Humain accoudé à un bureau plein de paperasse:
«Alors… Il me faudrait votre prénom et votre nom.
-Je suis Claran Bravépine et voici Sophalinya Bravépine.»

L’Humain nota les précieuses informations sur une grande feuille et fit signe aux deux Aurins de suivre un guide casé dans le cadre de la porte qui irais les conduire à leur chambre. L’endroit était assez spacieux, mais Arboria leur manquait atrocement. Les premiers mois de leur intégration se passaient plutôt bien. Les Aurins étaient considérés comme des membres de la famille des Exilés, et Sophalinya réussi même à se faire des amis parmi les Humains.
Alors qu’elle se baladait dans le vaisseau arche, Sophalinya entendit une3 mélodie provenir de la salle du fond. Elle s’y dirigea, et la mélodie devenait de plus en plus perceptible. Elle passa la tête par la porte et avisa l’instrument. Elle dirigea son regard vers le pianiste et vit pour la première fois un Mordesh. Elle eut un frisson en apercevant les tuyaux parcourant la peau de cet individu, mais elle en oublia le détail face à la beauté de la musique. Le Mordesh interrompit son morceau et demanda:
«Tu es venue écouter un peu de piano?»

Sophalinya acquiesça timidement et entra. Le Mordesh la fit installer à côté de lui, après avoir vérifié minutieusement qu’il ne pouvait pas lui transmettre une éventuelle Contagion. Il joua quelques morceaux plus ou moins rapides tandis que Sophalinya observait les doigts gantés du Mordesh se balader gracieusement d’un bout à l’autre du clavier. Après 30 minutes passées en la compagnie du pianiste, Sophalinya dit:
«Je veux apprendre.»

Le Mordesh nommé Poliakov, accepta de lui apprendre à jouer du piano à raison d’un cours par semaine. Elle les suivit, bien entendu, et mis son père au courant. Elle travaillait dur, mais l’absence de piano chez elle handicapait fortement son apprentissage. Mais elle continuait, elle continuait. Poliakov avait cru au départ que ce n’était qu’un intérêt spontané, mais il constata bien rapidement que la petite ne se décourageait jamais, même après plusieurs mois. Il prit alors la décision de rencontrer le père, quand Sophalinya était partie avec ses amis. Ils discutèrent un moment et se mirent d’accord sur un point: il fallait à Sophalinya son propre piano. Elle rentra chez elle le soir et elle crut s’être trompée de chambre. Mais lorsque Claran lui annonça un «joyeux anniversaire» en compagnie de Poliakov, elle comprit de suite que le piano lui était destiné. Elle remercia son professeur ainsi que son père et depuis ce jour-là, le jour de ses 14 ans, elle travailla sans arrêts, jusqu’à obtenir la perfection.

Elle venait d’avoir ses 15 ans et elle maitrisait à la perfection le piano. Son visage s’était affiné, et son corps avait adopté des formes plus fines. Elle était désormais une jeune femme. Elle commençait à observer les Aurins avec un œil différent, mais elle regardait plus les jeunes-femmes que les jeunes-hommes. Alors qu’elle observa l’immensité de l’espace, une voix retenti:
«Mais ce s’rait pas ma sauveuse!»

Sophalinya se retourna et se retrouva en effet nez à nez avec le soldat qu’elle avait sauvé deux ans auparavant:
«Eh beh, t’a bien changée. Moi j’t’ai reconnue à tes cheveux et à ta peau.»

Elle salua le soldat en prenant de ses nouvelles depuis le Grand Ravage, et il fit de même. Ils discutaient de tout et de rien, Sophalinya lui faisait des démonstrations de piano, et le soldat raconta ce qu’il a vécu sur le champ de bataille, ce qui donna à l’Aurin une envie de plus en plus grandissante de rejoindre la FCON.
Elle demanda des informations au soldat et il lui indiqua qu’un apprentissage de deux ans était enclenché à partir de la majorité et que l’on pouvait devenir soldat à la fin de celui-ci. Il ajouta tout de même que tous les Aurins à sa connaissance sont devenu espions. Mais Sophalinya voulait se battre au front. Claran décida qu’il était temps de descendre sur Nexus et de s’établir dans un village. Sophalinya du laisser à regrets le piano sur le Quitte ou Double et elle fit ses adieux à Poliakov. Elle voulut saluer le soldat une dernière fois, mais il annonça qu’il descendait lui aussi sur Nexus.

Sophalinya visitait avec son père les différentes régions d’Alizar pour essayer de deviner où ils se sentiraient le mieux. Khamsin était gorgé de monstres gigantesques, Il faisait trop chaud à Algoroc, Celestion était trop paisible et il était quasiment impossible de trouver un logis dans Thayd. Et c’est alors qu’à la dernière étape de leur voyage, elle fut particulièrement touchée par Valblanc. Toute cette vaste étendue, les rochers faisant surface et les pins recouverts de neige la charmaient au plus haut point. Mais son père préférait Celestion, à la clairière de Haute-Sylve. Ayant travaillé dur sur le Quitte ou Double, Claran avait assez pour s’offrir un domicile. Lorsque Sophalinya voulu entrer dans la maison, le père annonça:
«J’accepte et j’accepterais toujours que tu vives sous mon toit, mais je ne t’empêcherais pas de faire ce que tu veux. Je t’offre, si tu le souhaites, un terrain à Valblanc.»

Sophalinya sauta de joie et remercia infiniment son père. Il lui annonça qu’ils partiraient à Valblanc que lorsque la maison sera meublée et donc Sophalinya attendit patiemment pendant deux voire même trois semaines avant de partir.
Ils étaient arrivés à Valblanc et le père était couvert de la tête aux pieds alors que Sophalinya ne portait qu’un vêtement laissant paraitre ses bras et ses jambes. Ils se rendirent sur place à la recherche d’un terrain, accompagnés d’un bâtisseur et d’un homme de loi. Le terrain choisi n’appartenait à personne, pas même aux Exilés et il convenait parfaitement à Sophalinya. Le terrain était assez dégagé pour y installer une maison et autres extensions, mais il comprenait aussi une source chaude alimentée par plusieurs cascades.
L’homme de loi assura que le terrain n’appartenait à personne, et il fit signer Sophalinya pour prouver que désormais le terrain lui appartenait. Avec le bâtisseur, Sophalinya s’était mise d’accord sur un plan de la maison à construire. Le père paya ensuite les frais de construction, et au bout de 7 mois, la maison était terminée. C’était une maison circulaire, avec une petite extension, circulaire elle aussi. Le toit était en bois, les murs et l’auvent en pierre, et la porte était forgée dans du métal vert. Sophalinya avait plutôt opté pour l’intérieur un plancher de bois vert, un mur en métal similaire à celui du vaisseau arche, et des ornements en bois. Elle avait fait installer dans la petite extension une sorte de banc en pierre qui faisait partie intégrante de la maison.

N’ayant pas perdu contact avec son ami soldat, elle lui envoya une lettre lui indiquant sa nouvelle demeure. Celle-ci était déjà totalement meublée lorsque le soldat vint. Sophalinya ayant avoué son intérêt pour les armes, son ami prépara une rencontre avec un recruteur de la FCON.
«Comme ça, tu pourras rejoindre l’armée si tu le souhaites»

Sophalinya remercia le soldat et passa une série de tests pour prouver que Sophalinya était en totale maîtrise de ses moyens.
Le recruteur fit installer rapidement une cible et proposa à Sophalinya de tirer. Elle inspira profondément et tira.
Le soldat jeta un œil sur la cible et la félicita:
«Tu lui a troué l’ventre et l’crâne, comme le Drake qui m’a attaqué»


Dernière édition par Sophia Lagachette le 16.03.16 12:57, édité 2 fois
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[Récit] Le Chaos réside dans une balle Empty Re: [Récit] Le Chaos réside dans une balle

Message par Sophia Lagachette 09.03.16 11:59

«Allez, plus vite que ça! J’ose espérer qu’vous êtes plus fort qu’un Jabbit !»

Elle portait son sac sur l’épaule, à regarder les jeunes soldats qui s’entrainaient. Après une infinie vérification de papiers, elle entra enfin. Elle faisait désormais parti des leurs et se rendit de suite au bâtiment d’accueil. Elle posa ses affaires sur un banc et partit en hâte, les nouvelles recrues ont été appelées. Le sergent instructeur, un Granok (ce qui n’est guère étonnant), accueilli les troupes avec une bonne course à pieds:
«Vous m’ferez cinq tours de terrain! Zêtes pas là pour plaisanter! »

Parmi ceux qui se plaignaient et ceux qui ralentissaient se trouvait des jeunes, en majorité, mais aussi des personnes plus âgées. Il y avait pas mal de Granoks et d’Humain, mais aussi bien des Aurins que des Mordesh.
Une fois couverte de sueur, Sophalinya suivit le groupe pour un court briefing. Chacun était assigné à un groupe et un bâtiment leur était indiqué. Un pour les femmes, un pour les hommes. Sophalinya posa ses affaires sur son lit et le groupe fut encore appelé par le sergent instructeur. Il devait commencer par familiariser les nouveaux aux armes. Le premier essai se fit autour du fusil. Trop lourd pour certains, dont Sophalinya, seul les Humains et les Granoks purent tester. L’épée était bien trop lourde, encore, ainsi que les résonateurs. Ensuite vint le tour des griffes. Sophalinya a essayé et ça ne lui a pas plu. Elle observa les postulants, et son œil fut attiré par une Aurin. Celle-ci avait l’air de bien se débrouiller avec les griffes: elle alliait puissance et agilité. Elle allait tellement vite que Sophalinya se perdait dans ces mouvements. Un coup elle éventre le mannequin, l’autre coup elle l’embroche par derrière. Une fois le test des griffes passé vint le tour des Espers. Sophalinya ne pouvait l’être et s’est donc tournée vers les pistolets, seule arme qu’elle maitrisait convenablement. Elle tira une balle qui vint se loger dans la tête du mannequin de paille.
«Ne sent pas l’orgueil monter, soldat! Tu trouveras plus fort que toi, un jour !»
Sophia songea alors à l’Aurin aux griffes.

Une fois les tests finis, le sergent instructeur accordait l’arme de chaque soldat. Il choisit pour Sophalinya les pistolets, puisqu’elle avait fait un sans-faute aux tests, et il accorda les griffes pour cette mystérieuse Aurin qui avait épaté la galerie.
Le lendemain, elle fut réveillée aux aurores. Nullement surprise, elle se leva et resta droite comme un piquet pendant que le sergent instructeur passait dans les rangs:
«Du nerf! Zêtes pas là pour roupiller toute la journée! Suivez l’exemple de cet Aurin, bande de Snoglugs sans coquille! Ton nom, Soldat!
-Sophalinya, chef!
-C’trop long! J’espère qu’ça t’dérange pas qu’j’t’appelle Sophia, parce que t’a pas l’choix!»

Sophalinya trouva le surnom très adapté et il lui plut de suite.
Le sergent instructeur leur recommanda de suite d’aller chercher des vêtements adéquats pour les entrainements. Sophia s’habilla et se présenta directement au lieu de l’entrainement. Le sergent instructeur leur fit une petite leçon sur l’entretien du corps et commença par l’entrainement physique. Sophia fut mise avec une autre l’Aurin du jour précédant, les yeux ronds et les oreilles fines, avec une peau claire et les cheveux blonds. Elle s’appelait Auroria.
Le premier exercice fut une course d’obstacle en duo, destiné à travailler l’agilité et le travail en équipe. Sophia et Auroria, étant toutes les deux Aurins, n’eurent aucun mal à se faufiler entre les poutres et elles n’eurent pas beaucoup de difficulté à travailler en équipe.
Le second exercice était l’échelle horizontale, qui fut un peu plus compliqué pour les deux Aurins, mais à force de s’entrainer, elles arriveront certainement à le repasser sans difficultés.
Le dernier exercice était d’apprendre la survie aux nouvelles recrues. Soit, comment se déplacer sans se faire trouer par le premier venu. Les soldats se mirent alors à ramper, ventre à terre.
Sophia fut exténuée après cette seconde journée, et les journées se succédèrent avec les mêmes exercices.
Sophia et Auroria commençaient à se connaitre et à se soutenir mutuellement. Dès qu’elles pouvaient, elles faisaient les exercices imposés ensemble et s’entrainaient souvent pendant leurs repos.
A force de s’exercer, Sophalinya sentit ses muscles se raffermir et devenir plus puissants, mais aussi, elle devint plus habile. Tous les soirs, avant de se coucher, elle faisait des séries de pompes et d’abdos. Après un certain temps d’exercices répétitifs vint le combat à main nues. Destiné seulement dans les cas extrêmes, il fallait bien s’y préparer.
Un Humain emmitouflé dans une combinaison de protection se plaça au milieu du terrain et le sergent instructeur fit passer les recrues unes à unes pour leur expliquer les bases du combat et surtout mettre hors d’état de nuire son adversaire. Cela dura plusieurs semaines et les combats vinrent rapidement, alliant coup de pieds et coup de poing. Sophia suivit les conseils de son sergent instructeur et tenta d’atteindre le visage en priorité.
«Eh beh, elle ne fait pas ça dans la dentelle!»

Comme ses camarades, Sophia réussi en définitive à mettre l’Humain surprotégé à terre et elle était fière d’elle.
Ensuite vint la maitrise des runes, pour les Arcaneros. Sophia s’ennuyait ferme à écouter les théories sur les runes et elle préfère utiliser des vraies balles que des projectiles non physiques. Elle apprit néanmoins à utiliser un portail et même à se voyager dans le néant, mais elle est loin d’en avoir la maitrise parfaite.
Sophia eu sa première permission après un an d’apprentissage, à 17 ans, et prit ce temps pour mettre à jour sa garde-robe de soldat. L’uniforme était en très mauvais état et elle n’allait certainement pas quitter le centre d’entrainement avec celui-ci. Elle devait se trouver une tenue de combat qui lui conviendrait, qui n’entraverais pas ses mouvements.
Elle visita les boutiques de Thayd avec Auroria et trouva petit à petit les éléments qui l’intéressaient. Elle avait finalement acheté une paire de bottes robustes et des genouillères, un pantalon orné de motifs militaires, des mitaines qui remontaient jusqu’aux coudes et un gilet sans manches, tous de couleur chamelle, et en dernier, elle a acheté un T-shirt noir destiné à être porté sous le gilet ainsi qu'une casquette militaire grise.
Une fois de retour au centre d’entrainement, Sophia rangea ses nouveaux vêtements sous son lit, en attendant le moment propice pour enfin les enfiler.
La seconde année passa très rapidement pour Sophia. Les exercices se répétaient et elle s’améliora à chaque fois. Elle apprit quelques nouvelles techniques et l’année se termina. Elle avait fait 2 ans d’apprentissage, ce qui signifiait que ce dernier était terminé. Les soldats ayant terminé leur apprentissage, ils devaient partir.
Ils rendirent les uniformes et rassemblèrent leurs affaires. Sophia fit de même et se présenta dans la cour du centre.
Après avoir assigné plusieurs soldats à leur poste, le sergent instructeur en nomma d’autres, dont Sophia et Auroria:
«Vous, vous z’irez à Khamsin!»
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